Il faut préserver la création et la diversité. Nous travaillons essentiellement avec les salles indépendantes car le profil des films et des spectateurs que nous touchons se trouvent dans ces salles. C’est un travail commun qui doit se faire entre ces salles et les distributeurs. Ces maillages-là permettent à la diversité de perdurer et surtout de faire découvrir les cinéastes de demain, il faut penser à Woody Allen ou Pedro Almodóvar.
Je voudrais encore rajouter que lorsque que j’ai créé ma première société il y a dix ans, tout le monde me disait que le cinéma était mort et surtout que faire des films de patrimoine était une folie, qu’il y avait la télévision, le DVD et maintenant Internet ou la VOD. J’ai l’impression qu’il y a toujours un intérêt fort des spectateurs, des cinéphiles, qu’on a jamais autant parlé de cinéma. Et au cœur de cela, la spécificité de la France d’avoir tous ces lieux et cette diversité de films.
Je voudrais encore rajouter que lorsque que j’ai créé ma première société il y a dix ans, tout le monde me disait que le cinéma était mort et surtout que faire des films de patrimoine était une folie, qu’il y avait la télévision, le DVD et maintenant Internet ou la VOD. J’ai l’impression qu’il y a toujours un intérêt fort des spectateurs, des cinéphiles, qu’on a jamais autant parlé de cinéma. Et au cœur de cela, la spécificité de la France d’avoir tous ces lieux et cette diversité de films.