ETATS GENERAUX DE L'ACTION CULTURELLE
CINEMATOGRAPHIQUE ET AUDIOVISUELLE
Synthèse des échanges de la journée du 8 janvier 2009, veille des états généraux
Préambule
La veille de la journée officielle des Premiers états généraux de l’action culturelle cinématographique et audiovisuelle, nous, acteurs de terrain de l’action culturelle venus de la France entière, nous sommes retrouvés au Centquatre à Paris en comité restreint d’une centaine de personnes, pour partager nos différents constats, impressions, doutes et revendications afin de dresser ensemble un premier état des lieux du paysage de l’action culturelle cinématographique et audiovisuelle sur notre territoire.
Nous, créateurs, producteurs et exploitants – publics comme privés – mais également représentants du monde associatif (tels que les structures de diffusion et les réseaux de salles, les festivals, les coordinations de dispositifs scolaires et hors temps scolaires nationaux ou locaux, les médiathèques, les mouvements d’éducation populaire, les syndicats de professionnels du cinéma et de l’audiovisuel, etc.) nous sommes réunis pour exprimer notre identité commune, traduisant de facto la transversalité de ce que nous pouvons légitimement nommer la filière de l’action culturelle cinématographique et audiovisuelle.
D’une seule voix, à travers le Collectif national de l’action culturelle cinématographique et audiovisuelle (Blac), la filière de l’action culturelle a exposé, au cours de cet après-midi du 8 janvier 2009, l’esquisse d’un état des lieux et de ses propositions autour de quatre thèmes d’atelier :• action culturelle cinématographique : le rôle des salles de cinéma ;
• enjeux citoyens de l’éducation à l’image ;
• filières professionnelles et renouvellement des talents ;
• le rapport Auclaire : analyse critique.