Un état des lieux de l'action culturelle – cinématographique, audiovisuelle et multimédia – couplé à une étude des conditions d'une meilleure complémentarité des actions menées dans les champs de la diffusion, de l'aménagement du territoire et de l'éducation à l'image, a été commandité à Alain Auclaire, début 2008. Cette commande faisait suite à la mobilisation sans précédent au Saint-André-des-Arts du collectif dont l’ampleur et la grande représentativité d’une filière extrêmement hétérogène avait considérablement surpris le ministère de la Culture et de la communication.
Peu de temps après la publication du rapport d’Alain Auclaire en novembre 2008, le ministère s’est manifesté auprès du Blac pour annoncer que le document servirait de base de dialogue avec les acteurs de l’action culturelle.
Après en avoir décortiqué en long et en large les quatre-vingt pages (plus les annexes), nous sommes parvenus à un constat partagé : nous pensons que le rapport souffre d’une « schizophrénie » entre son diagnostic et ses propositions.
Peu de temps après la publication du rapport d’Alain Auclaire en novembre 2008, le ministère s’est manifesté auprès du Blac pour annoncer que le document servirait de base de dialogue avec les acteurs de l’action culturelle.
Après en avoir décortiqué en long et en large les quatre-vingt pages (plus les annexes), nous sommes parvenus à un constat partagé : nous pensons que le rapport souffre d’une « schizophrénie » entre son diagnostic et ses propositions.