Nous en avons plusieurs. D'abord en 2008 une baisse de subvention de la DRAC sur les ateliers d'écriture de 2.000 euros, ce chiffre n’est pas énorme – même s’il reste assez important pour nous. En revanche, pour pallier les difficultés de l’aménagement du territoire, nous bénéficions jusqu'à présent d’un abattement des charges patronales comme nous étions en Zone de revitalisation rurale. Or, un récent amendement l’a supprimé, ce qui se traduit par une augmentation de ces charges de 13 euros. Pour le moment c’est progressif, mais en 2010 il est prévu une augmentation des charges patronales de 30 euros. Nous essayons de faire face, faire preuve d’imagination, car il n’y a pas beaucoup d'espoir d’augmentation de la part de la DRAC ou des collectivités.
Nous avons aussi une subvention de l’ACSE, puisque nous avons des activités de lutte contre les discriminations à partir du cinéma (nous venons de finir un tournage dans le quartier du Mirail à Toulouse). Et je rejoins tout à fait Jean-Pierre Thorn, les gens dans ce quartier sont venus nous voir, ils nous ont accueillis. Alors que la police ou France 3 n’y vont plus dans ce quartier (sauf en cas de troubles)… mais nous avions fait un travail d’un an avant de tourner. Quant à la subvention de l’ACSE, elle est passée devant celle de la DRAC. Il faut dire qu’il y a des gens motivés dans cette structure, même si sa dissolution est annoncée. Nous nous sentons vraiment gardés à vue.
Nous avons aussi une subvention de l’ACSE, puisque nous avons des activités de lutte contre les discriminations à partir du cinéma (nous venons de finir un tournage dans le quartier du Mirail à Toulouse). Et je rejoins tout à fait Jean-Pierre Thorn, les gens dans ce quartier sont venus nous voir, ils nous ont accueillis. Alors que la police ou France 3 n’y vont plus dans ce quartier (sauf en cas de troubles)… mais nous avions fait un travail d’un an avant de tourner. Quant à la subvention de l’ACSE, elle est passée devant celle de la DRAC. Il faut dire qu’il y a des gens motivés dans cette structure, même si sa dissolution est annoncée. Nous nous sentons vraiment gardés à vue.