L'offre alimente la demande, c'est à nous aussi de nous en convaincre. Évidemment qu'il n'y a pas autant de monde pour La Question humaine que pour Indigènes, mais c’est là l’importance de ces réseaux. Cinéphare et l’ACOR nous aident. En nous mettant tous en réseau, nous parvenons à toucher tous les publics, et petit à petit à renverser cette logique de programmer seulement ce que les gens (soi-disant) veulent voir, comme le disent les programmateurs de la télévision. C'est nous qui choisissons ce que nous allons apporter au public et pas le contraire.