S’il ne l’entend pas c’est qu’il n’est pas « homme », et cela est très grave. Si la classe politique ne prend pas la mesure de ces enjeux, elle n’est pas à même de gouverner l’homme qu’elle représente. Je dis là des mots forts, car aujourd’hui le sens de l’humain est oublié au nom d’un pouvoir économique et démagogique qui nous gouverne. « Si c’est un homme », cet homme doit entendre ces mots et doit les faire siens.