La modernité est d’accompagner les artistes aujourd’hui. Notre position est aussi de faire le lien entre ce qui se crée aujourd’hui et ce qui s’est fait avant parce que nous ne sommes pas une génération spontanée, nous sommes le produit de générations. N’oublions pas que le cinéma a été créé pour un grand écran et une installation son. Regarder un film sur un écran de télévision, ce n’est pas voir le film. N’arrêtons pas de le répéter ! Dans la modernité, il y a de très belles expériences mais aussi du n’importe quoi. Essayons d’accompagner les expériences les plus innovantes, les artistes les plus pointus, ceux qui nous déroutent, nous questionnent nous nourrissent et nous font progresser.
Quant au film que nous allons voir, c’est un film d’atelier. C’est ce qu’on aime faire : inviter des réalisateurs à venir travailler dans les quartiers. Y a pas que les fleurs a été fait par une jeune réalisatrice belge de film d’animation, Louise-Marie Collon, qui est aussi engagée dans une association de Liège, Caméra etc.. Pour ce film, elle a passé une semaine avec des jeunes de dix-douze ans, avec comme thème « le bonheur ».
Quant au film que nous allons voir, c’est un film d’atelier. C’est ce qu’on aime faire : inviter des réalisateurs à venir travailler dans les quartiers. Y a pas que les fleurs a été fait par une jeune réalisatrice belge de film d’animation, Louise-Marie Collon, qui est aussi engagée dans une association de Liège, Caméra etc.. Pour ce film, elle a passé une semaine avec des jeunes de dix-douze ans, avec comme thème « le bonheur ».