Nos trois axes de travail, au Cinématographe à Nantes, sont : 1) tenir un cinéma, 2) mission du Conseil général de Loire-Atlantique pour animer un réseau de trente-huit salles associatives, 3) éducation à l’image avec la coordination des dispositifs Ecole et Collège au cinéma.
La première chose qui m'inquiète est d’apprendre que le rapport Auclaire risque de servir de base et d’acquis. C’est inquiétant car tout ce qui a été discuté ce matin, par les acteurs de l’action culturelle, n’aura pas été entendu cet après-midi, les personnes présentes cet après midi ne l’ont pas entendu.
Rappelons que la prise en charge de l’éducation artistique dépend de l'Etat et non des collectivités territoriales ! Si les postes disparaissent dans ce domaine, c’est l’Etat qui en est responsable. La question qui se pose est comment pouvons-nous encore maintenir les postes dans nos structures ?
Je trouve choquant que dans son intervention, Dominique Paillé, trouve une solution en laissant le soin aux collectivités territoriales de se mettre d'accord. Etonnant que de demander l’unanimité des politiques pour pouvoir avancer. Preuve d’une méconnaissance du terrain.
Il faut encore insister sur l’urgence à redéfinir l'action culturelle, comme les acteurs l’ont fait hier. C’est le cœur du problème. Aujourd’hui, je ne me suis pas reconnue dans les discours politiques qui ont été tenus.
La première chose qui m'inquiète est d’apprendre que le rapport Auclaire risque de servir de base et d’acquis. C’est inquiétant car tout ce qui a été discuté ce matin, par les acteurs de l’action culturelle, n’aura pas été entendu cet après-midi, les personnes présentes cet après midi ne l’ont pas entendu.
Rappelons que la prise en charge de l’éducation artistique dépend de l'Etat et non des collectivités territoriales ! Si les postes disparaissent dans ce domaine, c’est l’Etat qui en est responsable. La question qui se pose est comment pouvons-nous encore maintenir les postes dans nos structures ?
Je trouve choquant que dans son intervention, Dominique Paillé, trouve une solution en laissant le soin aux collectivités territoriales de se mettre d'accord. Etonnant que de demander l’unanimité des politiques pour pouvoir avancer. Preuve d’une méconnaissance du terrain.
Il faut encore insister sur l’urgence à redéfinir l'action culturelle, comme les acteurs l’ont fait hier. C’est le cœur du problème. Aujourd’hui, je ne me suis pas reconnue dans les discours politiques qui ont été tenus.
Catherine Cavelier est exploitante au Cinématographe à Nantes (Ciné-Nantes)