En premier lieu, les remerciements. Et peut-être commencer par remercier le ministère de la Culture et cette situation de crise, de baisse des moyens, sans lesquels cette manifestation transversale n’aurait peut-être pas eu lieu ! En tout cas, sachez que cette transversalité restera un des axes de travail que nous vous proposerons.
Nous remercions également les membres du secrétariat provisoire du collectif – « provisoire » signifie que se posera la question de la continuité : Marion Blanchaud de La ligue de l'enseignement, Catherine Bailhache de l'ACOR, Licia Eminenti réalisatrice et membre de la SRF, Huguette Bonomi de la Fédération française des MJC, Eugène Andréanszky des Enfants de cinéma, Amélie Chatellier de la SRF, et Antoine Leclerc de Carrefour des festivals.
Merci encore au Centquatre et à la Mairie de Paris pour nous avoir accueillis gracieusement. Merci à l'équipe technique, à l'association Son et image qui nous a prêté tout le matériel de projection. Merci à Gilles Porte, réalisateur ; à la Pellicule ensorcelée ; à Philippe Lefait et Aline Pailler qui ont animé brillamment ces tables rondes ; à Jean-Michel Frodon des Cahiers du cinéma. Une pensée particulière à Laurence Lafiteau notre régisseuse et à Annie Maurette notre attachée de presse.
Il y a sans aucun doute matière à ce que ce collectif perdure, que cette approche transversale se poursuive. Les premières hypothèses de travail :
Nous remercions également les membres du secrétariat provisoire du collectif – « provisoire » signifie que se posera la question de la continuité : Marion Blanchaud de La ligue de l'enseignement, Catherine Bailhache de l'ACOR, Licia Eminenti réalisatrice et membre de la SRF, Huguette Bonomi de la Fédération française des MJC, Eugène Andréanszky des Enfants de cinéma, Amélie Chatellier de la SRF, et Antoine Leclerc de Carrefour des festivals.
Merci encore au Centquatre et à la Mairie de Paris pour nous avoir accueillis gracieusement. Merci à l'équipe technique, à l'association Son et image qui nous a prêté tout le matériel de projection. Merci à Gilles Porte, réalisateur ; à la Pellicule ensorcelée ; à Philippe Lefait et Aline Pailler qui ont animé brillamment ces tables rondes ; à Jean-Michel Frodon des Cahiers du cinéma. Une pensée particulière à Laurence Lafiteau notre régisseuse et à Annie Maurette notre attachée de presse.
Il y a sans aucun doute matière à ce que ce collectif perdure, que cette approche transversale se poursuive. Les premières hypothèses de travail :
- Parmi les urgences, il y a la question du bénévolat qui concerne beaucoup de salles de cinéma, d’associations, de festivals etc. Le 5 février prochain à 17h00, au festival de Clermont-Ferrand, une série d’échanges auront lieu sur ce sujet. Nous espérons que le CNC et le ministère de la Culture qui travaillent sur ces questions pourront nous apporter des amorces de solutions pour sortir d’une situation périlleuse pour l’ensemble du secteur.
- La création d’une plateforme de réflexions communes sur les propositions du rapport Auclaire. Il nous semble important que le collectif formule des contre-propositions et mettent en avant ses propres réflexions notamment dans le cadre du domaine de l’éducation au cinéma.
- Il y a aussi la question du compte de soutien : comment rééquilibrer la place de l’aide sélective à côté de l’aide automatique. Comment y inscrire le champ de l’action culturelle pour qu’il soit mieux reconnu et soutenu.
- Il y a enfin la demande de mener une concertation élargie avec d’autres acteurs comme par exemple le Club des 13.