samedi 16 mai 2009

Anne Toussaint

La question de la pérennisation, évidemment. Nous travaillons depuis dix ans à la prison de la Santé. J’entends aujourd’hui que cela fait longtemps que nous avons des subventions et qu’il faudrait maintenant proposer un nouveau projet. Les questions portent plutôt sur un renouvellement de projet et non sur la question de faire évoluer des processus de travail, de les mettre en questionnement et de vraiment chercher ce que cela produit pour nous cinéastes dans nos écritures et ce que cela produit pour les personnes avec qui nous travaillons.